LA DISSERTATION, UNE COMMUNICATION [2]

Publié le par alain laurent-faucon



 

Voici un florilège de réflexions pas très sympathiques concernant les copies : « un vrai torchon », « écriture illisible », « on étouffe dans votre copie », « laissez des marges, de l'espace », « revenez à la ligne », « soignez l'orthographe » ... Et voici ce qu'aucun professeur ne vous dira, tant ce n'est pas politiquement correct : personne n'attend votre copie pour avoir une idée sur le sujet, pire que cela, personne n'a vraiment envie de vous lire, car corriger est un pensum, c'est l'enfer ou un cauchemar selon les cas, et en plus, c'est sans fin, tellement il y en a ... Alors, les correcteurs ont tendance à faire des tas, un premier tri en somme « à la gueule de la copie » : propre, lisible, agréable à lire, pas trop longue – c'est fou ce que cela rend dingue quand on découvre des copies avec plein d'intercalaires. Alors, de grâce, faites court, soyez concis, précis, évitez le blablabla, on ne corrige pas au poids, à l'épaisseur, ce serait même le contraire : plus c'est long, moins on a envie de lire – un peu comme les articles des magazines, et pourtant, eux, sont bien présentés, avec des titres, des intertitres, des accroches, des visuels, des circuits de lecture ... Mais s'ils sont trop longs, on décroche ou on lit en diagonale.

 

Tous les mots importent et ils renvoient tous au même constat : l'aspect visuel. Exprimé de façon plus directe et pragmatique : tous renvoient au B-A BA de la communication et de la publicité, c'est-à-dire à l'apparence, à l'accroche, au « look ». La présentation purement formelle est, en effet, le premier contact du correcteur avec la copie et ce qu'il y a à l'intérieur : le texte. Une présentation déplorable disqualifie la copie, provoque chez le correcteur de l'agacement et de l'ennui, ne l'incite pas à lire le texte, à faire preuve de compréhension et d'attention. Nombreux sont celles et ceux qui perçoivent même une copie mal écrite, sans espaces, sans circuits de lecture, comme un manque de respect à leur égard. Un peu comme quelqu'un qui se présenterait le jour de l'oral sans s'être lavé ni correctement habillé ! Cela fait sourire et pourtant il en va ainsi de beaucoup de copies ...

 

Une copie doit d'abord séduire et attirer le lecteur par sa présentation, puis, bien sûr, par sa démonstration. Mais le premier contact, la présentation, est essentiel – surtout quand on sait que les notes en culture générale peuvent vraiment varier d'un correcteur à l'autre. Entre les dommages immédiats - le peu d'empressement - et les dommages collatéraux - l'agacement -, l'écart entre la note que vous auriez pu avoir et celle que vous obtiendrez peut être de plusieurs points. Même si le contenu est bon !

 

En résumé, il faut que le correcteur, en voyant votre copie, aie envie de lire le contenu, parce qu'il se sent bien : l'écriture est plaisante, soignée, il y a de nombreux paragraphes, des espaces blancs entre les différentes parties, des circuits de lecture qui permettent de visualiser tout de suite les phrases de liaison, l'intro, la conclusion, etc. Il faut que le correcteur puisse avoir une vision d'ensemble - l'annonce du plan, les phrases de liaison, la conclusion - avant d'entrer plus précisément dans le texte. Comme dans les rapports humains, la première impression est toujours très importante. Alors séduisez d'abord le correcteur par la qualité formelle de votre copie - le plaisir que procure quelque chose de bien présenté, agréable à regarder -, avant de le séduire par la qualité de votre démonstration. Oui ! j'ai bien écrit : de votre démonstration - et non : de vos connaissances étalées pêle mêle comme de la confiture sur une tartine ... dans le monde de la presse et de la pub, on appelle ça : "beurrer du papier" ! et ce travers-là est détestable.


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Les "circuits" de lecture




INTRODUCTION

Quatre paragraphes

 

 

1°) Une mise en perspective …
2°) … qui permet d’introduire et d’annoncer (obligatoire) le sujet que vous devez traiter.
3°) Une problématique - la vôtre -
4°) … qui permet d’introduire et d’annoncer le plan que vous allez suivre scrupuleusement.


DÉVELOPPEMENT

Deux parties et deux sous-parties


Une phrase introduisant la première partie et annonçant les sous-parties A-B.

[Titre ou non de la 1er partie]

La phrase qui introduit A  - puis, éventuellement, intertitre A

§ Une idée par paragraphe
§ Une idée par paragraphe
§ Une idée par paragraphe


Une phrase qui conclut A – conclusion partielle - et qui introduit B - puis, éventuellement, intertitre B

§ Une idée par paragraphe
§ Une idée par paragraphe
§ Une idée par paragraphe


Une phrase faisant la conclusion de la première partie – conclusion partielle – puis introduisant la deuxième partie et annonçant les sous-parties A’- B’.

[Titre ou non de la 2ème partie]

La phrase qui introduit A’ - puis, éventuellement, intertitre A'

§ Une idée par paragraphe
§ Une idée par paragraphe
§ Une idée par paragraphe


Une phrase qui conclut A’ – conclusion partielle - et qui introduit B’ - puis, éventuellement, intertitre B' 



§ Une idée par paragraphe

§ Une idée par paragraphe
§ Une idée par paragraphe

 


CONCLUSION

Deux, trois phrases bien senties

C'est un bilan, c’est-à-dire la somme – la synthèse - de toutes les conclusions partielles. Jamais d’idées nouvelles dans une conclusion ! Jamais … et c’est une faute impardonnable : vous ne savez pas mener une démonstration et la conclure avec brio.


Dans l’introduction : on expose le problème que l’on doit résoudre et on dit comment on va s’y prendre pour le résoudre. Dans la conclusion : le problème est résolu, on le dit, et on dit comment on l’a résolu.

LA CONCLUSION : UN VERROUILLAGE. « Par son étymologie latine, conclusion (cum-cludere) signifie rassembler et fermer. Dire verrouillage c'est dire la même chose, mais de manière plus dynamique et plus imagée. C'est affirmer que plus un texte est long, complexe, difficile, plus il est nécessaire de tout rassembler à la fin pour tirer la conclusion. Il ne faut pas que le lecteur referme le texte en se demandant : "Finalement, qu'est-ce qu'il a voulu dire ?", "Où veut-il en venir?". Il faut qu'il trouve la conclusion écrite noir sur blanc. » - Louis Timbal-Duclaux, in L'expression écrite – écrire pour communiquer, éditions ESF, Paris, 1983.

 

  

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Des « News » aux copies


quelques règles à respecter


Tout le monde, un jour ou l'autre, a feuilleté des magazines, notamment des « News ». Je vais donc partir de cette expérience, fort banale en soi, pour découvrir avec vous un certain nombre de règles qui, transposées et adaptées, pourraient améliorer la présentation de votre copie.

Vous l'avez constaté, généralement les « News » offrent une parfaite maîtrise de la mise en page. Leurs concepteurs ont, en effet, compris qu’une page se regarde d’abord et se lit ensuite. Il en va de même d'une copie : on la regarde d'abord et on la lit ensuite. Et si le premier regard donne de la copie une image négative – illisible, brouillonne, mal présentée, pas de marge ni d'espaces, etc. -, alors, instinctivement, on n'a pas envie d'aller plus loin, on n'a pas envie de lire le texte. Et vous imaginez la suite, l'état d'esprit du correcteur et les conséquences que cela peut avoir sur la note finale.

Étant à la fois une image (un visuel) et un écrit, toute page de « News » est, de ce fait, soumise à une double contrainte : respecter le langage de l’image – l'accroche et les circuits de lecture - tout en observant les règles fondamentales de l’écrit.

Toute présentation, que ce soit une page magazine ou une copie, est une mise en forme, mise en scène du contenu, c'est-à-dire du texte, afin justement d'inciter le lecteur à entrer dans le texte. Avant d'être une pensée en train de se faire, une démonstration, le texte – votre copie – est d'abord un objet. Que l'on regarde, que l'on trouve beau ou laid, etc. 

Pour comprendre cela, il faut toujours se mettre à la place d’un lecteur qui feuillette une revue ou un livre : il regarde d’abord, puis se décide ou non à lire le texte ou l’article. La forme avant le fond. Car la forme est déjà signe et langage.
 

L’accroche et les circuits de lecture

Le circuit de lecture c’est tout ce qui se regarde et se lit avant qu’on ne prenne connaissance du texte lui-même. C'est donc les diverses accroches qui suscitent l’intérêt, attirent l’attention, donnent envie d’en savoir plus et d’entrer dans le texte. Pour Louis Timbal-Duclaux (in op.cit.), le « circuit de lecture du texte comporte paradoxalement tout ce qui se lit sans qu'on aille au texte lui-même ». Adaptons cela au cas particulier de la copie, de votre copie.

Accroche générale : la présentation générale : claire, aérée, agréable à regarder, etc. Et les titres.

Accroches latérales : la marge de gauche qui est respectée, les fréquents retours à la ligne, les phrases de liaison très visibles et directement perceptibles, les espaces (les blancs du texte) qui permettent d'aérer la copie et surtout de délimiter les différentes parties, sous-parties, etc. Et les intertitres.

Ces accroches doivent faire ressortir l’essentiel, c'est-à-dire l'ossature du texte, pour permettre au correcteur d'avoir, dès le premier regard, une vue d’ensemble.

Titres et intertitres

Aujourd'hui, dans tous les concours, vous avez le choix : soit mettre des titres et des intertitres, soit ne pas en mettre comme dirait Monsieur de La Palice ! Mais ATTENTION : dans les deux cas de figure, vous devez absolument rédiger des phrases de liaison et d'annonce – ce qui explique pourquoi, de nos jours encore, certains profs refusent titres et intertitres lors des prépas, car ils ont trop peur que les étudiant(e)s ne fassent l'impasse sur toutes ces phrases.

En effet, ces phrases de liaison, d'annonce, de conclusion partielle sont obligatoires. Ce sont elles qui permettent à votre pensée de se développer en suivant une progression logique ; ce sont elles qui montrent également aux correcteurs votre agilité intellectuelle et vos capacités rédactionnelles – maîtrise et fluidité.

Ce rappel effectué et cette mise en garde faite, je vous conseille de mettre des titres et des intertitres, car cela participe de la mise en forme, mise en scène de la copie, et permet à la fois une meilleure accroche générale et de meilleures accroches latérales. D'un seul coup d'oeil, le correcteur peut saisir l'ensemble de votre démonstration, puisque ses articulations sont directement perceptibles. Et cette possiblité-là est fort appréciable. Mais ATTENTION : non seulement il ne faut pas faire l'impasse sur toutes les phrases de liaison et d'annonce, mais il faut aussi que les titres et intertitres soient pertinents et en rapport direct avec le sujet et votre démonstration.

En conséquence de quoi, vous l'avez compris, les titres et intertitres exigent un réel travail rédactionnel. Ou ils apportent quelque chose d'essentiel, ou ils sont inutiles, voire nuisibles !

Pour vous convaincre de l'importance des titres et des intertitres dans l'économie générale d'un texte, de leur rôle majeur même, je vous invite à méditer les deux exemples proposés par Louis Timbal-Duclaux, dans son ouvrage L'expression écrite – écrire pour communiquer (aux éditions ESF, Paris, 1983). Prenons, écrit l'auteur, deux types de compte rendu du salon Batimat :

Premier compte rendu :

TITRE : « Batimat 1980 » [information intéressante fournie au lecteur : zéro]

INTERS : a) les bétonnières ; b) les grues ; c) les bulldozers [information intéressante : zéro]

Deuxième compte rendu :

TITRE : « Photo Kina 70 : la percée japonaise »

INTERS : a) les Allemands battus sur leur propre terrain ; b) des prix cassés ; c) vers des mesures protectionnistes ?

Sans avoir lu l'article proprement dit, nous savons déjà l'essentiel de ce qu'il renferme : la percée japonaise sur un marché dominé jusqu'ici par les Allemands ; une percée d'autant plus inquiétante que les prix sont cassés, d'où la question de savoir s'il ne faut pas revenir à un certain protectionnisme.

Je crois que la démonstration est suffisamment convaincante : titres et intertitres doivent apporter une réelle information et doivent éveiller l'intérêt personnel du lecteur ou sa curiosité. Et, ultime rappel, titres et intertitres ne vous dispensent pas des phrases de liaison et d'annonce qui sont obligatoires ! 


Les blancs du texte

Pour une lecture agréable et une plus grand lisibilité, il faut éviter les longs paragraphes qui ressemblent à autant de masses compactes et indigestes – ce que les maquettistes et les secrétaires de rédaction, SR, appellent, dans leur jargon imagée, la « grisaille ». D'où la nécessité de couper, fractionner, décomposer un texte trop long (un pavé !) en plusieurs alinéas ou paragraphes. Comme le fait remarquer Louis Guéry, in Le Secrétariat de Rédaction – De la copie à la maquette de mise en page (Éditions du Centre de formation et de perfectionnement des journalistes, Paris, 1995) :

« Le blanc n'est pas de la place perdue, bien au contraire. Il contribue à l'équilibre d'une page ; il a un rôle de mise en valeur. [...] Le blanc contribue aussi à une meilleure lisibilité ; il attire l'attention sur la ligne, le titre, le passage qu'il isole. [...] Enfin, le blanc constitue pour l'oeil un délassement, un moment de repos qui lui permet de ne pas chercher une détente » en dehos du journal ou de la revue ou de la copie !

 

La façon d'écrire

« Être, c’est être perçu » - disait George Berkeley, évêque et philosophe irlandais (1685-1753). Alors si votre écriture est relâchée, bâclée, illisible, « pattes de mouche », si vos lettres sont cahotiques, partent dans tous les sens, si vous ne savez pas écrire de façon rectiligne et si vos plages d'écriture montent et descendent, zigzaguent, je n'ai qu'un conseil à vous donner : entraînez-vous à bien écrire.

Surtout n'haussez pas les épaules en disant « pfffou-ou ! », - le jour des épreuves vous payerez très cher cette désinvolture. Voilà pourquoi, durant la Prépa', je refuse de corriger les copies qui ne respectent pas toutes les consignes. J'entends d'ici et très fort vos murmures de réprobation et de révolte, mais cette attitude absolument « terroriste » vous oblige à progresser (le « marche ou crève », n'est-ce pas?). In fine, ma seule ambition est que vous réussissiez ! Toute prépa' est un drill !


L’ « écriture efficace »

Les seules techniques de l’écrit qui nous intéresse ici sont celles qui relèvent de « l’écriture efficace » - cette écriture qui permet de mieux communiquer et d’être lu.

Les deux archétypes de ce genre d’écriture sont le journalisme et la publicité. De ces écrits utilitaires nous ne garderons que les grands principes et éviterons leurs travers : les jargons, les mots à la mode, le laisser aller de certaines tournures, les effets de styles et autres clichés, etc.

Dans son étude sur « L’écriture journalistique » (in Le savoir écrire moderne, éd. Retz, Paris, 1980), Olivier Todd note que l’on trouve dans l’article de presse « une aisance à se faire lire, la manière dont on prend le lecteur, la façon dont on l’accroche, le ton et la rapidité ».

Le bon journaliste sait en effet choisir son « angle d’attaque », met en place des circuits de lecture, fait preuve d’un style direct, vivant, incisif, rapide ; il sait donc plaire, attirer le lecteur, le séduire, le convaincre. Et il sait également faire court.

trouver l'« angle d'attaque » ;

avoir un style direct, vivant, incisif, rapide ;

savoir faire court ! [1]

Le bon publicitaire, quant à lui, sait qu’il doit « forcer » les gens à lire le texte d’une annonce, d’un dépliant, d’une lettre de vente, etc. Il doit donc « accrocher » en un minimum de temps un destinataire peu ou pas du tout intéressé. Voilà pourquoi l’écrivain Aldous Huxley estime qu’écrire de la publicité est un art plus difficile que le roman !

Dans son étude sur « L’écriture publicitaire » (in Le savoir écrire moderne), Claude Vielfaure rappelle qu’ « écrire de la publicité c’est d’abord forcer le destin ». Le publicitaire écrit en effet pour déclencher l’action, le désir d’achat. Il doit se mettre à la place du lecteur, comprendre ses motivations, satisfaire ses attentes (cf. les travaux de Dichter ou de Joannis : De l’étude de motivation à la création publicitaire). La rédaction publicitaire est avant tout une affaire « d’accroche ».

Par exemple, l’annonce texte, l’argumentaire, la lettre de vente, qui s’appuient sur la force de la rédaction, exigent une bonne connaissance des méthodes d’argumentation du type AIDA :

A : éveiller l’Attention ;

: susciter l’Intérêt ;

D : éveiller le Désir ;

A : provoquer l’Action.

D'où l'importance, en ce qui nous concerne, de l'introduction. C'est elle qui va impulser l'ensemble du devoir, donner le ton, ouvrir les perspectives, montrer si vous êtes capables d'avoir des idées originales, de trouver un « angle d'attaque » personnel. Votre introduction doit répondre aux critères de type AIDA ! Comme l'ensemble de votre démonstration.

Et je le répète encore et encore, on ne vous demande pas de réciter un cours, de reproduire des fiches de lecture, de soûler le correcteur de citations hors contexte et non référencées : auteur, ouvrage, etc. On ne vous demande pas de « recracher » (le mot convient parfaitement) un savoir, des connaissances, mais de penser ! Et en agissant ainsi, vous répondez aux attentes des jurys des concours. Souvenez-vous :

 

« le jury apprécie toujours les candidats qui savent s'évader des fiches stéréotypées délivrées lors des préparations et qui acceptent, fût-ce au prix de maladresses aisément pardonnables, de réfléchir en direct ».

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Est-ce clair ? D'où l'impérieuse nécessité d'apprendre à questionner le sujet ! Pour trouver son « accroche » personnelle et développer sa propre réflexion étayée, bien sûr, par les lectures et les connaissances. Mais ces lectures et ces connaissances ne sont là que pour soutenir, conforter une pensée en train de se faire en direct.

En aucun cas, ces savoirs livresques ne doivent se substituer à la réflexion personnelle. Voilà pourquoi il est inutile et stupide de vouloir lire et lire pour gaver sa mémoire comme l'on gave une oie. Lisez peu, mais lisez bien, lisez quelques livres essentiels pour ensuite développer votre propre réflexion.


Alain Laurent-Faucon


NOTES :

[1] En la matière il n'y a "rien de nouveau sous le soleil" !  « Faites court, je vous prie », disait déjà Henri IV à l'un de ses envoyés de retour d'Italie. Et Boileau de rappeler : « Fuyez de ces auteurs l'abondance stérile / Et ne vous chargez pas d'un détail inutile ». Et cette mise en garde de Voltaire : « Le secret d'ennuyer est celui de tout dire ». Et la fameuse question de Foch : en bref, « de quoi s'agit-il ? »


Références bibliographiques :

Guéry Louis, Le Secrétariat de Rédaction – De la copie à la maquette de mise en page, éditions du Centre de formation et de perfectionnement des journalistes, Paris, 1995.

Richaudeau François, La lisibilité, éd. du C.E.P.L. et Denoël, Paris, 1968.

Richaudeau François, Le langage efficace, éd. Denoël et C.E.P.L., Paris, 1973.

Timbal-Duclaux Louis, L'expression écrite - écrire pour communiquer, Les éditions ESF, Paris, 1983.

 

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